Brighton etant la derniere etape de ce périple,il va donc falloir penser a rentrer à la maison.
Hélas,cela ne peut se faire qu'en repassant par Londres et son traffic plus que perturbé -surtout aux heures de pointe- où nous ratons encore une fois le côche: partir relativement tôt ne suffira pas, en ce lundi matin a attrapper l'eurostar.
Et encore une fois Fred met la main à la poche pour nous permettre a tous de prendre le train suivant sans perdre trop de temps sur les horaires même si, a part le boulot, pour certains, aucun autre concert nous attend.
Brighton, reseau de cables de communication le matin dans le quartier où nous avons été hébergés
Il y a comme un air de mission accomplie qui flotte au dessus et qui nous suivra
jusque dans le train ou l'on reparle encore des mésaventures, des moments agréables et des differentes choses a améliorer.
Il est aussi question des prochaînes dates en France notemment.
J'aurai voulu en savoir plus sur les gens sur les paysages que j'ai vu, certains que j'imaginais, d'autres que j'avais entrevu au détour d'une chanson ou d'un reportage.
forêt anglaise vue de l'eurostar
Malgré cela, l'experience est enrichissante grâce ou a cause de ces petites mésaventures et on en apprend pas mal sur soi et ses capacités de musicien en l'occurence. Evacuer certaines choses pas si importantes, retenir seulement ce qui va importer pour le groupe.
Et puis il faut vous dire qu'on a pas déboursé enormément pour ce voyage: les frais d'hotel et certains frais de nourriture etaient quasiment pris en charge par soit ce que l'on avait gagné ou, si j'ai bien compris, l'argent que le label avait avancé pour cette tournée de promotion.
Je mesure ma chance.
Mais en contre partie c'est du boulot.